On est passés deux fois devant elle quand on la trouve enfin. La cabane en pierre sèche. Dans son écheveau de rameaux. Protégée des assauts.
Qu’a-t-elle vu ? Une porte en bois la bâillonne. On a beau entrer dans son antre. Rien n’y fait. Elle nous sèche. Elle ne dira rien de ses secrets.
Tapie dans l’ombre du bois, elle se dissimule sous une mousse épaisse, dans les fougères. On ne la distingue plus. C’est une cabane-caméléon.
En s’en approchant, on s’enfonce dans son mystère.
“Je ne peux pas m’en empêcher.” Je croque des cookies et j’aspire du Cherry Coke…
Ca a trotté dans ma tête. Je me suis tâtée, puis j'ai sauté dans le…
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J'aime l'entendre. Une rivière qui coule, un bruissement, un son chantant, rassurant : l'accent du Sud-Ouest.…
Toutes les langues se fondent dans le bruit du vent, sur la plus grande dune…
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